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6 conseils pour lutter contre le froid et le poids ;)

http://madame.lefigaro.fr/bien-etre/les-conseils-pour-eviter-de-tomber-malade-quand-les-temperatures-chutent-180917-1341

Un article intéressant dont les conseils sont valables pour la perte de poids … vous ne perdrez pas votre temps et vous serez en pleine forme si vous les suivez  🙂

Six conseils pour éviter de tomber malade quand les températures chutent

Lucie Rousselle | Le 18 septembre 2017

Hériter du rhume saisonnier quand le thermomètre dégringole est un grand classique, mais pas une fatalité. Mode d’emploi pour l’éviter.

Ça y est, les feuilles commencent à tomber, il fait nuit à 20 heures, sortir sans parapluie devient périlleux et surtout les températures chutent. Bref, l’automne approche et met notre système immunitaire, le bouclier qui protège des microbes en tout genre, à rude épreuve. Alors pour éviter toute la panoplie du rhume, on anticipe en adoptant les bons réflexes.

 

Arrêter le sucre et aller chez le poissonnier

Il est d’abord important de partir en croisade contre le sucre. À savoir, le mauvais sucre, celui des bonbons ou encore celui qui se cache dans les plats industriels et transformés par exemple. C’est lui qui fait baisser le système immunitaire. Pourquoi ? «Parce que manger trop de sucre augmente la production de globules blancs, ce qui rend le système immunitaire moins opérationnel pour lutter contre une attaque virale», explique Aude Veret, naturopathe. En pratique, on évite les viennoiseries, les barres chocolatées et les sodas.

En revanche, faire le plein de minéraux est vivement conseillé pour doper son corps. Les produits de la mer sont les meilleurs agents pour remplir cette mission. Poissons ou crustacés, tout peut être dévoré sans modération. «Les algues (wakamé, nori ou dulse) sont aussi très riches en minéraux, à tester en tartare par exemple», propose la naturopathe. La soupe d’orties est aussi au menu. Ce légume feuille, excellent pour la santé, offre un shot de minéraux et d’acides aminés (indispensables au bon fonctionnement du corps, ils assurent le transport de l’eau, des lipides ou des glucides). Ce remède de grand-mère est à consommer une fois par semaine.

Se coucher tôt

C’est le sommeil qui régénère le système immunitaire

Jouer les oiseaux de nuit est mauvais pour la santé. Se mettre au lit de bonne heure est essentiel pour être en forme. «Quand on dort, la mélatonine du corps (hormone du sommeil) se met en route entre 22 heures et 7 heures du matin, et c’est elle qui régénère le système immunitaire», explique Aude Veret. Du coup, se coucher tôt est essentiel pour espérer avoir un sommeil réparateur digne de la Belle au bois dormant. L’idéal est de dormir huit heures par nuit. Et si le programme télé préféré joue les prolongations, tant pis. Extinction des feux quand même.

Faire du sport

Le sport fatigue, ce n’est pas un scoop. Alors, on enfile ses baskets et on s’y met. La meilleure prescription : les activités cardio, comme la natation, le running ou la boxe. Elles vont améliorer l’endurance, rendre le corps plus résistant et donc moins sujet aux petits rhumes. Il faut juste éviter de transpirer trop tard le soir, sinon trouver le sommeil peut s’avérer compliqué. Le but n’est pas d’être sélectionnée aux prochains J.O.. Quarante-cinq minutes de sport, deux à trois fois par semaine, c’est parfait. Si l’on manque de temps, le principal est de bouger le plus possible. Tentez toujours d’être régulière et de faire du sport au moins une fois par semaine.

Ne pas trop se couvrir

Les mauvaises habitudes ont la vie dure. Comme celle qui consiste à s’emmitoufler dans trois pulls dès qu’il fait froid. Premièrement, c’est le meilleur moyen d’arriver en sueur au bureau. Deuxièmement, à trop protéger son corps du froid, il joue l’enfant gâté. S’il n’a jamais froid, il n’apprend pas à se défendre. Il sait le faire naturellement, alors on le laisse gérer la situation. Idem pour la température d’une habitation. «Il ne faut pas surchauffer les pièces. Une température de 25 degrés pour déambuler en débardeur n’a aucun sens. Un thermomètre à 19 degrés pour le salon et à 18 degrés pour la chambre est l’idéal», explique Alexandra Chopard, docteure en pharmacie.

Jouer les herboristes

La rhodiola est parfaite pour affronter les premiers frissons

Le thym fait partie des plantes au pouvoir assainissant. Il est un redoutable allié pendant les périodes de froid ; à éviter en revanche pour les femmes enceintes ou allaitantes. À écarter aussi pour les personnes allergiques aux plantes de la même famille que le thym, comme la menthe par exemple. Pour toutes les autres, cette herbe est trouvable en magasin bio, sous forme séchée. Dans un but préventif ou curatif, faire infuser pendant plusieurs minutes. Ce breuvage peut être miraculeux. La touche finale ? Une cuillère à café de miel pour apporter un goût sucré et soulager la gorge. Autre plante à adopter en cette saison : la rhodiola. «Elle est parfaite pour affronter le tunnel de la rentrée et les premiers frissons», affirme Alexandra Chopard. On la retrouve sous forme de gélules en pharmacie. Avaler trois comprimés par jour pendant dix à quinze jours, est la cure qui stimule les défenses immunitaires et met K.O. les virus.

Aérer tous les jours

Selon Alexandra Chopard, l’intérieur des habitats est trois fois plus pollué que l’extérieur. Même si le ménage est fait toutes les semaines ? Pas de panique, les détergents fonctionnent, mais un appartement ou une maison sont des vases clos. «À la maison, on ramène toutes les « cochonneries » de l’extérieur, ce qui explique ce taux de pollution hallucinant», explique la docteure. Il est donc primordial d’aérer tous les jours au moins dix minutes. Un polluant est perçu comme un virus ou un microbe par le corps, alors pas d’hésitation à ouvrir la fenêtre. «Il faut aussi bien penser à aérer son espace de travail car on y passe énormément de temps», ajoute Alexandra Chopard. De cette manière, vous esquiverez le petit virus qui empoisonne la vie et qui fait dépenser des fortunes en mouchoirs.

 

Impact alimentation futurs parents sur santé et poids des futurs enfants

Impacts alimentation futurs parents sur leurs  futurs enfants ? 

Écrit par Muriel Etienne, diététicienne – le 11/16/2017

La santé et le poids des enfants dépendent de leur mode de vie, mais aussi de celui de leurs parents et bien avant leur conception !

On sait déjà que l’apport nutritionnelle du fœtus in-vitro est primordiale pour la santé du bébé mais les études tendent de plus en plus à montrer l’impact de la santé des parents avant la conception sur le futur bébé que ce soit pour la mère ou le père

Concernant le père …                                       

De récentes études (chinoises, américaines et Danoises), montrent que l’alimentation du père aurait un impact sur la santé et le poids de ses futurs enfants. En effet, l’obésité d’un homme est marquée dans ses spermatozoïdes, porteurs de son patrimoine génétique : l’ADN d’un homme obèse est enrichi par des épigénomes spécifiques dont la quantité est proportionnelle à son poids donc réversible aussi 😊

L’homme transmettant son patrimoine génétique par ses spermatozoïdes, transmet aussi ces épigénomes spécifiques à l’obésité à son futur enfant, porteur à son tour ces épigénomes, facteurs de risque d’obésité.

Lire : « futurs papas, surveillez votre poids ! »

Concernant la mère …

La qualité de la membrane de la paroi utérine et du placenta est précieuse pour le développement du futur enfant, elle se construit dès la conception du bébé et perdure jusqu’à la fin de la grossesse. Cette qualité dépend donc du capital santé initial de la mère et ce capital se construit sur plusieurs années (mais réversible lui aussi : il est toujours temps de l’améliorer surtout si vous souhaitez avoir des enfants en bonne santé et de poids normal).

Lire : « futures mamans, surveillez votre alimentation et votre poids ! »

Futures mamans, surveillez votre alimentation et votre poids !

Futures mamans, surveillez votre alimentation et votre poids ! Souvent la femme fait particulièrement attention à son poids au moment où elle tombe enceinte, cet article explique en quoi, il est important d’optimiser sa santé et son poids avant de tomber enceinte … mesdames, si vous souhaitez avoir un bébé, cet article vous intéressera.  Bonne lecture 🙂

Choisir le bon aliment pour soi : utiliser sa gourmandise

Source:http://www.gros.org/choisir-le-bon-aliment-pour-soi-utiliser-sa-gourmandise

Il est important, pour ne pas manger au-delà de ses besoins, de manger en règle générale en réponse à une faim. Il convient aussi de pouvoir s’arrêter sans regret lorsqu’on a assez mangé par rapport à ses besoins physiques.

Pour cela, il s’agit, lorsqu’on est rassasié, de pouvoir se dire qu’on a mangé ce qui faisait le plus envie et plaisir, et qu’on a été pleinement conscient de ce plaisir. Si on mange des aliments qu’on s’impose, il est difficile de ne pas craquer sur des aliments qu’on aime vraiment, même lorsque la faim a disparu. On se rassasie bien sagement d’un repas sain et équilibré, et poussé par une force irrésistible que beaucoup appellent injustement «la gourmandise», on finit par craquer sur une tablette de chocolat consommée sans faim, avec des émotions négatives.

La vraie gourmandise consisterait plutôt à choisir des aliments qui nous procurent le plus de plaisir possible, à les consommer à un moment où on a suffisamment d’appétit, pour en profiter au maximum. Dans la société de forte abondance alimentaire dans laquelle nous évoluons, autant choisir ce qui nous apporte le meilleur des plaisirs !
Lorsque l’on commence à choisir ses aliments en fonction de son goût, de ses appétences, et non selon des règles diététiques, on se rend compte que beaucoup d’aliments que l’on trouvait très attrayants car très interdits, ne sont pas si bons que ça.
À l’inverse, des aliments « diététiquement corrects » peuvent retrouver leur valeur de plaisir. Certains jours, les haricots verts (avec du persil et une noix de beurre) nous semblent plus délicieux qu’un gâteau, perçu comme trop lourd.

Pour vous aider à trouver l’aliment qui vous fera le plus plaisir, vous pouvez vous poser des questions : avez-vous envie d’un aliment chaud ou froid ? Mou ou croquant ? Fluide ou plus ferme? Salé ou sucré ? Protéique ou glucidique (viande/oeuf ou féculent/pain) ? Cru ou cuit ? Epicé/corsé ou doux ? D’un arôme particulier (chocolat, fromage, fruité..)? Gras ou maigre ? Sec ou juteux ? Léger ou consistant ? On peut continuer la recherche une fois qu’on a trouvé l’aliment pour affiner encore si c’est possible : quelle marque, quelle variété, quelle pâtisserie, quel traiteur…
Lorsque vous aurez répondu à toutes ces questions, vous aurez une idée plus précise de ce qu’il vous faut pour répondre au mieux à votre faim, et vous limiterez au maximum la tentation de continuer à manger après être rassasié.

Le fait de se poser toutes ces questions en cas d’envie non associée à une faim permet de se rendre compte parfois qu’aucun aliment ne convient vraiment. On prend alors conscience que ce n’est pas vraiment de nourriture qu’on a envie, qu’on a besoin, que la nourriture n’est là que pour masquer d’autres problèmes.
Si on trouve un aliment qui fait très envie, il s’agit de bien le déguster en s’accordant pleinement ce plaisir. Si ces situations se présentent souvent, l’idéal est bien sûr de travailler à réagir de façon plus appropriée qu’avec la nourriture lorsque les émotions nous envahissent.

Se demander ce qu’on a envie de manger permet aussi de prendre l’habitude d’avoir un discours amical et respectueux avec soi-même contrairement à ce qui se passe quand on essaie de se restreindre. Cette façon de se parler aide à se sentir mieux dans d’autres domaines aussi.

Pour faciliter les choix, il est également très utile de connaître ses aliments réconfortants personnels en fonction de ses goûts et son histoire. Ceux qui nous rappellent de bons moments sont pour nous de précieux alliés pour nous ressourcer avec bonne conscience.

Vous pouvez essayer d’en dresser la liste et vous demander à quelle fréquence vous vous accordez ces aliments si efficaces pour vous faire du bien. Le fait de faire une telle liste permet aussi de se rendre compte combien il est difficile de choisir et donc combien vous avez d’occasions de vous faire du bien en mangeant.
Cette connaissance aide à s’arrêter lorsqu’on a assez mangé en pensant à toutes les autres bonnes choses qu’on pourra manger tout au long de sa vie.

On n’a pas besoin de faire de provisions de plaisir en mangeant davantage d’un aliment qu’on aime. Dans ce cas nous ferons plutôt des provisions d’énergie sous forme de graisse. Si l’on veut «stocker du plaisir», c’est en insistant sur le plaisir sensoriel, en le verbalisant, et en le mémorisant.
Les madeleines, quel plaisir, mais une seule suffit pour évoquer un monde.

Ulla Menneteau