Sexothérapeute

Le sexothérapeute est une profession non reconnue offociellement, seule la spécialisation en sexologie, dédiée aux medecin est un diplome d’état.

J’ai suivi une formation en sexothérapie mise en place par un docteur  sexologue via un organisme agrée par Qualiopi.

Qualiopi est une certification officielle française, créée par la loi « Avenir professionnel » de 2018.

Elle atteste qu’un organisme de formation, de bilan de compétences, de validation des acquis de l’expérience (VAE) ou d’apprentissage respecte un niveau de qualité défini par l’État.

Concrètement :

  • C’est un label unique délivré par des certificateurs accrédités.

  • Il repose sur le Référentiel National Qualité (RNQ), qui contient 7 critères et 32 indicateurs (par ex. l’accueil du public, la qualification des formateurs, l’adaptation des contenus, la prise en compte des retours…).

Qu’est-ce qu’un sexothérapeute ?

Un sexothérapeute est un professionnel qui accompagne les personnes seules ou les couples dans la compréhension et l’amélioration de leur vie sexuelle et affective.

Son rôle n’est pas uniquement de « soigner » une difficulté, mais aussi d’aider à mieux vivre sa sexualité, en tenant compte du corps, des émotions, des pensées et de la relation à l’autre.

Concrètement, il intervient sur :

  • Les troubles du désir, de l’érection, de l’éjaculation, de la lubrification, de la douleur…

  • Les blocages liés à l’histoire personnelle, aux traumatismes ou à l’éducation.

  • Les difficultés relationnelles ou de communication dans le couple.

  • L’accompagnement face à des étapes de vie (grossesse, ménopause, maladie, séparation, etc.).

  • Le développement d’une sexualité épanouie, adaptée à chacun.

Quelles sont mes spécialités en sexothérapie ?

Pour les hommes, les pahologies urologiques, telles que : prostatectomie, éjaculation précoce, problème d’érection lié à la gestion des émotions ou aux dérèglements hormonaux (andropause).

Pour les femmes, les problèmes intimes en général, liés à la l’image de soi, à la libido, avec ou sans dérèglement intime (ménopause, post-grossesse).

« Ce n’est pas parce que les choses nous semblent inaccessibles que nous n’osons pas, c’est parce que nous n’osons pas, qu’elles semblent inaccessibles » (Sénèque)